Les passerelles doivent permettre de remédier à ces situations, tout en mettant un terme à des stratégies d’évitement : je l’ai constaté en région parisienne, certains étudiants qui ont eu un bac général avec une mention « bien » se dirigent vers les IUT pour s’inscrire ensuite en licence. En effet, leurs familles et eux-mêmes ont peur des deux premières années à l’université, non pas parce que la qualité des formations y est mauvaise, mais parce qu’ils ne sont pas rassurés quant au type d’accompagnement proposé.