C’était très irritant, et les Grenoblois n’étaient pas les seuls à se rebeller. Je sais que l’on percevait partout ce même agacement, qui revenait à dire : « Quelle est l’autonomie, puisque nous devons entrer dans un moule que l’on ne peut pas modifier ? » Dès que l’on souhaitait prendre la moindre initiative, on était rappelé à l’ordre, par exemple lorsqu’il s’agissait d’associer les collectivités territoriales à la réflexion sur les initiatives d’excellence, les IDEX. Ce n’était pas possible, ce n’était pas prévu !