Je souhaiterais apporter un éclairage sur l'IFCIC dont les missions ont évolué avec le temps. Aucun acteur ne répondait parfaitement aux besoins des services culturels numériques qui ont moins besoin de subventions que d'accès à des financements de marché. Or contrairement aux guichets de droit commun, l'IFCIC a développé cette expertise spécifique en proposant une offre de quasi-fonds propres. Il est de plus apparu intéressant de saisir l'opportunité qu'offrait la création de la BPI.