Instaurer des épreuves classantes interrégionales à la fin des études de médecine nous ramènerait trente ans en arrière. L'examen national en vigueur pour l'internat offre davantage de garanties. Ne modifions pas un dispositif aussi lourd sans en évaluer les conséquences. Le numerus clausus est déjà fixé par les universités. Soyons prudents.