C'est bien sûr un sujet qui nous préoccupe, mais il est assez difficile de faire une étude sur la consommation de produits illicites quand la population qui se livre à cette consommation est de petite taille : la drogue touche des centaines de milliers de personnes, alors que le dopage est relativement limité en nombre.
On n'a donc pas d'études très frappantes sur les pathologies que cela peut engendrer. Nous disposons de connaissances médicales, mais également de cas cliniques, comme la mort de Jacques Anquetil, ou de Florence Griffith-Joyner.
On se pose beaucoup de questions quand un sportif ou ancien sportif, relativement jeune, décède de mort subite, mais on n'a pas toujours de preuve. On ne fait que se poser des questions. Heureusement d'ailleurs, car, avant de conclure, il faut pouvoir prouver les choses !