J’en viens à l’amendement n° 28. Monsieur Legendre, je vous remercie de remarquer que le Conseil national des programmes ne comptait aucun parlementaire. En ce sens, le Conseil supérieur des programmes constitue un progrès. Je signale, en outre, que nous remettons en place un organisme qui avait été supprimé.
Vous devez accepter l’idée – et je suis sûr qu’elle ne vous heurte pas, monsieur le sénateur – qu’il nous faut trouver quelques praticiens et spécialistes des mathématiques et de la lecture pour composer le Conseil supérieur des programmes. Les équilibres trouvés permettent donc une indépendance plus grande que jamais. C’est également valable pour la représentation parlementaire en son sein.
Je propose que l’on en reste là. Par conséquent, le Gouvernement émet un avis défavorable sur cet amendement.