A mes yeux, il ne faut plus que la France légifère sur la question du génocide arménien : nous n'avons pas intérêt à remettre cette question sur le tapis. S'agissant de l'UE, la Turquie tire tous les avantages de l'Union douanière tout en mettant « sur le dos » des Européens sa non-intégration à l'UE. Notre rôle n'était pas, je souhaite le souligner, de se substituer au Gouvernement et à l'Europe. Le rapport reflète particulièrement bien notre position.