Je suis satisfait que cette loi ne concerne pas la médecine, qui ne connaît pas de consommateurs mais des malades et n'est pas astreinte à une obligation de résultats, mais de moyens.
Nous avons déjà eu un débat sur l'obsolescence programmée. Est-il fatal de consommer toujours plus frénétiquement, toujours plus mal ? Tout ce que vous avez prévu sur l'endettement doit être à mon sens précédé d'une éducation à la consommation de manière à prendre le problème en amont. Il y a quelques années, celui qui regardait la coupe du monde avec un écran conventionnel, pourtant alors pratiquement aussi bon qu'un écran plat, passait pour un imbécile. Cela donne la mesure d'un formatage des consommateurs qui n'exclut pas les classes les plus vulnérables, loin s'en faut.