J'aimerais ajouter que l'on dispose depuis 2009 de nouvelles études - je vous citais tout à l'heure le rapport de l'ANSES. La science avance et on a des outils de plus en plus précis : on utilise aujourd'hui des électroencéphalogrammes, qui permettent d'identifier les structures physiologiques qui se mettent en alerte lors de l'égorgement. Pour autant, il n'y a pas de remise en cause des principales conclusions mises en évidence par l'expertise scientifique collective de l'Inra.