La transposition de la directive est correcte.
En effet, le texte de la directive donne au législateur national une marge pour déterminer les conditions du respect des règles relatives aux délais de livraison. Le consommateur peut faire usage de recours prévus par le droit national. Le régime des sanctions est également laissé à l’appréciation du législateur national.
C’est pourquoi la commission émet un avis défavorable sur cet amendement.