Il faut veiller à ne pas laisser sur le bord de la route les Etats dont les performances sont moindres. C'est pourquoi il faut promouvoir la transparence sur l'utilisation des ressources du Fonds mondial, mais sans exiger qu'elle soit totale, car cette exigence est inatteignable dans certains pays. Il faut à tout prix empêcher l'apparition d'une Afrique à deux vitesses, l'une disposant de la plus grande part des financements, l'autre réduite à la portion congrue.