Depuis des années, comme l'observait déjà le rapporteur Roger Karoutchi, les crédits votés en loi de finances initiale au titre de l'hébergement d'urgence s'avèrent insuffisants. Il est clair que les associations qui composent le 115 ont besoin de recevoir des crédits à hauteur des engagements qu'elles doivent prendre, d'autant plus que des pays réputés sûrs, comme le Kosovo, ne le sont plus. Le décret d'avance est donc bienvenu pour le secteur associatif prenant en charge les bénéficiaires de l'hébergement d'urgence.