Entendez cependant ces mots de Fernand Braudel, que j’aime bien citer : « Le présent ne saurait être cette ligne d’arrêt que tous les siècles, lourds d’éternelles tragédies, voient devant eux comme un obstacle, mais que l’espérance des hommes ne cesse, depuis qu’il y a des hommes, de franchir. »
Ensemble, franchissons cette barrière et travaillons dans les meilleurs délais à reconsidérer la DGF !