Madame Schurch, je sais que l’enjeu que représente le système ferroviaire national vous préoccupe, comme elle préoccupe le Gouvernement et l’ensemble des orateurs qui se sont exprimés cet après-midi. Nous le savons, celui-ci va mal, il fonctionne mal, et sa qualité comme sa situation financière se sont dégradées.
Monsieur Grignon, monsieur Capo-Canellas, je tiens à vous rassurer : le projet de loi arrive ! Par conséquent, le temps de parole qui me sera compté ce soir, j’en disposerai longuement dans quelques semaines ou dans quelques mois, en fonction de l’agenda du Parlement.