Récemment, en Bretagne, il a été découvert que de nombreux salariés étaient mis à disposition par une entreprise de travail temporaire issue d’un pays de l’Union européenne auprès d’entreprises de prestation de services, ainsi que des entreprises de l’industrie de la viande, dans les filières avicole et porcine, et de leurs sous-traitants. Un procès-verbal pour marchandage et prêt illicite de main-d’œuvre a pu être établi, tant à l’encontre de l’entreprise de travail temporaire que de l’entreprise de prestation de services.