La réflexion se poursuit. La commission spéciale de l'Assemblée nationale vient à peine d'être installée.
En revanche, le mécanisme à l'oeuvre en Grande-Bretagne n'est guère probant, de l'aveu même des Britanniques. Il n'est pas simple d'établir l'emprise d'un tiers ni, surtout, la connaissance qu'en a le client. Finalement, dans l'application concrète au Royaume-Uni, les autorités en viennent à considérer toute prostituée étrangère sous emprise d'un tiers, en revanche les prostituées britanniques sont considérées comme libres. Raccourci peu satisfaisant !