Chacun se félicite de votre action pour préserver le budget de la PAC. Les producteurs laitiers comprennent bien le dispositif de majoration des aides directes pour les premiers hectares mais auraient préféré que la majoration soit calculée non sur la surface mais sur la main d'oeuvre, en allant jusqu'à 2 voire 2,5 unité de travail humain (UTH). Dans mon département, qui compte 800 exploitations laitières, il y a une grande inquiétude.
La viticulture du Val de Loire et en particulier de Touraine a été particulièrement touchée ces dernières années par des évènements climatiques. Or, à peine 35 % des exploitants sont assurés. Je souhaite que le Val de Loire puisse participer à la réflexion, avec les bordelais, sur la réponse aux aléas climatiques. Enfin, nous constatons que de plus en plus de salariés bulgares ou roumains travaillent dans les vignobles. Comment expliquer ce phénomène ?