Monsieur Retailleau, je suis sensible à vos propos sur la reconnaissance, mais je m’étonne. Je ne voudrais pas ouvrir un débat polémique sur ces questions, mais les anciens d’Afrique du Nord attendaient cette carte « à cheval » depuis cinquante ans.
Or le premier gouvernement à le proposer dans le cadre d’un projet de loi de finances est celui auquel j’appartiens.