Je tiens tout d’abord à remercier M. Requier d’inscrire sa démarche dans le droit fil de la préoccupation exprimée par la commission des finances.
Par ailleurs, j’indique aux auteurs des amendements n° I–81 rectifié et I-327 rectifié que, dans la logique des arguments déjà développés, je ne peux que donner un avis défavorable à leurs propositions. La première coûterait 1, 5 milliard d'euros et la seconde, « seulement » 200 millions d'euros, mais c’est un peu trop, à nos yeux.