Ni la FNAC, ni les espaces Leclerc ne sont concernés par le label LiR.
Je suis très favorable à ce que les libraires s'aident en vendant des produits qui dégagent plus de marges que le livre. C'est le cas au Divan, dans le XVe arrondissement de Paris, qui vend beaucoup de livres pour la jeunesse et des jeux pédagogiques.
Les choix faits par la Fnac depuis quelques années ne me semblent pas, à ce stade, avoir contribué à rendre l'entreprise florissante. Ce sont des politiques commerciales qui appartiennent aux dirigeants de l'entreprise. Ils ont réduit la part du livre dans les magasins pour y vendre notamment des produits électroménagers. Les librairies qui disposent du label LiR ont droit aux aides des fonds de valorisation ; le livre doit représenter plus de 50 % de leur chiffre d'affaires.