La semaine dernière, un représentant de l'État-major des Armées nous disait combien l'armée était sensibilisée à ces questions.
Dans ce que vous dites, j'entends qu'une femme qui subit un viol dans les conditions d'un conflit armé souffre plus, psychologiquement, qu'une femme violée dans d'autres conditions, car s'ajoute à sa souffrance physique et morale le poids de la déchéance sociale.