Merci pour votre engagement. La difficulté de parler de ces horreurs est une partie du problème, comme je l'ai constaté au Burundi et surtout au Rwanda. J'ai vu au Burundi des centres de formation où les jeunes qui ont vécu ces drames et n'ont plus de famille pouvaient apprendre un métier et se donner un avenir. Il y aura un travail semblable à faire au Congo, lorsque les atrocités finiront par cesser, pour les enfants dont nous parlons, et peut-être aussi pour leurs enfants.