Au titre des dépenses non prévues, le rapporteur général a évoqué la revalorisation des dépenses indexées sur la base d'une prévision d'inflation surestimée. Ne faut-il pas plutôt comprendre d'une inflation sous-estimée ?
Je n'ai pas bien saisi le mécanisme de prise en compte, ou plutôt d'absence de prise en compte, de la dette de 4,5 milliards d'euros de l'EPFR dans les critères maastrichtiens. Je souhaiterais disposer d'une note sur ce qui m'apparaît comme un tour de passe-passe.