Oui, cher collègue, parce que cela saute aux yeux !
Voilà pourquoi vous en êtes là, monsieur le rapporteur général. Le parti socialiste est encore et toujours tiraillé en son sein entre les réalistes, sociaux-démocrates à l’allemande – il y en a, et c’est heureux – et ceux qui pensent que l’on pourrait laisser filer le déficit et la dette pour relancer la croissance.
Non, l’opposition n’est pas responsable de cette situation.