Pouvons-nous espérer un réel engagement des pays de l'Union européenne pour contribuer à stabiliser la situation en République centrafricaine ? Cet engagement pourra-t-il intervenir rapidement ? La France n'est certes pas en difficulté, mais la tâche est complexe, et l'opinion publique française sera plus sensible à une intervention multilatérale qu'à une action unilatérale de la France. Vous n'avez pas parlé de la Turquie. Quelle sera votre attitude à l'égard de la reprise des négociations ?