Je souhaite revenir sur les relations algéro-marocaines : les deux pays entretiennent des rapports constants. Ils partagent ensemble le souci de la sécurité. Les évènements d'In Amenas ont fait prendre conscience à l'Algérie qu'elle était vulnérable. Ils sont désireux d'obtenir un soutien mutuel, lorsque leurs intérêts supérieurs sont en jeu. En somme, le jour où il y aura la volonté politique de régler le conflit du Sahara, il le sera. En tout état de cause, la France doit rester l'ami de l'Algérie et du Maroc, de manière égale.