s'est déclaré favorable à une meilleure association des partenaires sociaux à l'élaboration du PRDF sous réserve de ne pas alourdir les conditions de préparation de ce plan. Il a fait valoir que le mode de pilotage du Fup a changé, que l'Etat n'opère plus de ponction sur ce fonds et que 80 % de ses crédits sont consommés. Le fonctionnement du futur fonds de sécurisation des parcours professionnels donnera lieu à une convention entre l'Etat et les partenaires sociaux qui devra permettre d'éviter que l'argent versé au fonds soit ensuite simplement renvoyé aux Opca sans une véritable orientation vers les publics prioritaires. Quant au Cif, d'éventuelles mesures de facilitation de son utilisation seront naturellement accueillies favorablement par le Gouvernement.