La dette de l'EPFR devait être reprise par l'État au plus tard à la fin de l'année 2014. C'est un élément qui aurait pu aggraver le besoin de financement de l'État à moyen-long terme. Mais les conditions exceptionnelles de financement que nous avons connues en 2013 nous ont permis de dégager des recettes de trésorerie supérieures aux prévisions. Nous avons ainsi pu anticiper la reprise de dette de l'EPFR sans alourdir le programme de financement de 2014. Au total, il s'agissait d'une bonne opération, étant entendu que celle-ci n'avait aucun impact sur la dette au sens maastrichien car la dette de l'EPFR y était déjà comptabilisée. En 2014, aucune reprise de dette n'est prévue, à l'exception d'un reliquat de 200 millions d'euros de l'entreprise minière et chimique (EMC).