M. Thierry Repentin, ministre délégué. Par l’augmentation, par exemple, de 10 milliards d’euros du capital de la Banque européenne d’investissement, ce qui permet aujourd'hui à la France de disposer de plus de liquidités pour accompagner les entreprises, les grands travaux dans les régions, les universités et les hôpitaux. Cela n’était pas possible avant notre arrivée.