Vous avez fait réaliser une étude sur les solutions possibles par le fameux conseil général de l’environnement et du développement durable – issu de la fusion du conseil général des ponts et chaussées et du service de l’inspection générale de l’environnement. Finalement, vous avez considéré que ce tronçon pouvait être financé par une participation de l’État, de la région et du département, ce qui ne constituait pas une nouveauté.
Puisque ce système n’avait pas fonctionné pendant quarante ans, il était normal de le reprendre, faute d’avoir trouvé une autre solution et faute d’accepter la concession autoroutière !