De toute façon, quand on est républicain et démocrate, une telle attitude est toujours un mauvais choix !
Deuxièmement, notre pays a besoin d’une classe politique qui vise le succès et ne parie pas en permanence sur l’échec du camp adverse.
Troisièmement, vous ne cessez d’envoyer des messages négatifs. Regardez plutôt les chiffres ! Vous parliez d’effondrement des transactions. Or même la Fédération nationale de l’immobilier, la FNAIM, et Guy Hoquet L’Immobilier, qui n’est quand même pas réputé pour être très à gauche, encore que je ne crois pas qu’il ait de position politique très marquée, nous annoncent aujourd'hui une augmentation de 4 % des transactions immobilières en France. Chers collègues, ce sont les chiffres de Guy Hoquet !
Les prévisions catastrophistes ne se sont pas confirmées ; l’effondrement du marché n’a pas eu lieu. Oui, les prix baissent. Selon vous, ils ne baissent pas assez, mais, s’ils baissaient davantage, vous parleriez de krach immobilier ! Il faut faire atterrir les prix en douceur. Trop de brutalité conduirait à une perte de valeur, avec d’autres conséquences économiques.
Je terminerai sur les chiffres de la construction : comme je vous l’ai déjà dit, ils correspondent aux chantiers engagés voilà deux ou trois ans. Vous avez enregistré de bons chiffres pendant trois ans. Comment ? À coup de milliards d’euros injectés pour les produits fiscaux de type Robien.