Nous partageons l'avis émis précédemment de la nécessité d'un socle commun, mais il faut sortir de la vision, parfois caricaturale, qui affecte les métiers et notamment celui d'animateur. Le temps partiel subi explique d'ailleurs les difficultés éprouvées pour recruter des animateurs dont la formation doit être améliorée, s'agissant notamment de ceux qui ont vocation à organiser des activités sportives, culturelles et artistiques.
L'éducation nous semble devoir aller au-delà de la simple formation professionnelle à un emploi. Elle a comme enjeux la cohésion sociale et la confiance des habitants dans leurs institutions.
Enfin, la mise en oeuvre de la réforme implique que soit désormais reconnue la diversité des formes d'engagement volontaire, comme celle des bénévoles retraités, qui participe à la cohésion culturelle et sociale des territoires.