J'entends votre insistance à nous demander ce qui se passera à la rentrée prochaine. Votre question même me paraît prouver qu'il existe bel et bien un problème qu'il faut essayer de résoudre. Nous avons dit aux différents ministres qui se sont succédé qu'en tout état de cause, le rétablissement du samedi matin serait difficile. Cependant, nous sommes prêts à nous asseoir à la table des négociations à condition qu'au préalable une stricte séparation du scolaire et du périscolaire soit rétablie et que la mise de l'école sous la tutelle des projets territoriaux soit levée.