Fort heureusement, les deux rapporteurs, y compris celui de l’Assemblée nationale, ainsi que notre vice-présidente ont joué un rôle de pondération, et nous avons pu trouver des terrains d’entente. Mais je tenais à souligner cet élément.
À mon sens, une deuxième lecture aurait tout de même été intéressante pour approfondir certains points. Je regrette le choix qui a été fait.
À l’instar de notre collègue Jean Desessard, mais pour des raisons diamétralement opposées