J’ai eu l’occasion, tout à l’heure, de vous remercier les uns les autres, mesdames, messieurs les sénateurs. C’est certes la tradition, mais, au-delà, mes propos se veulent sincères.
Ce débat a permis à chacun de s’exprimer, de porter la contradiction, bien sûr, laquelle est nécessaire en démocratie, et d’avancer des propositions qui ont, pour nombre d’entre elles, été retenues. Par conséquent, je vous remercie infiniment, mesdames, messieurs les sénateurs, de l’attitude que vous avez adoptée.
Monsieur le rapporteur, je vous sais gré de veiller à ce que nous ne soyons pas des rois nus, quelle que soit la qualité de cette nudité.