Claire Pontais, secrétaire nationale du Syndicat national de l'Éducation Physique et Sportive (SNEP-FSU) :
Une réforme visant à refonder l'école ne peut aboutir à une dégradation des conditions d'enseignement. La confusion ayant été installée par les réformes précédentes, des directives doivent rendre la priorité aux trois heures d'EPS obligatoires.