Tout à fait. L'idée est non pas d'introduire des gradations dans les souffrances des personnes, mais de comprendre les mécanismes pour pouvoir ajuster les réponses, qui ne sont pas forcément les mêmes, entre un cadre en entreprise qui a tout perdu et se retrouve à un moment à la rue et la personne qui vit à la rue parce qu'elle n'a connu que des logements précaires et une vie très difficile depuis sa naissance.