Leur place est devenue de plus en plus marginale pour des raisons politiques.
En Rhône-Alpes, notamment dans l'Isère, des réseaux de « capacitation » ont été mis en place : tous les trois mois, les conseils généraux et les caisses d'allocations familiales, entre autres, se réunissent pour écouter des collectifs pointant des dysfonctionnements et appelant à corriger telle ou telle procédure en matière, par exemple, d'aides aux familles ou de transport. Cette démarche est intéressante.
Le référent unique est également indispensable, mais, en raison des faibles effectifs des différents guichets, des conditions de travail de leurs personnels, du manque de formation et d'information sur les règles, la mise en place de cette mesure doit être accompagnée de certaines conditions pour parvenir à l'application du juste droit.