Mme Maquet-Engsted a indiqué que l'Union européenne incitait de plus en plus les structures qu'elle finance à l'évaluation. J'aurais souhaité connaître le type d'informations demandés dans ce cadre. Resolis croit en effet que pousser les associations à s'autoévaluer renforcera l'impact de leurs activités à court terme. Au-delà du fait que ces données sont exploitables par tous et notamment par le milieu académique, les associations elles-mêmes semblent très satisfaites de participer à une telle démarche, qui leur permet de prendre du recul sur leurs activités.
Même si la communication des données quantitatives est encore très difficile à faire accepter, elle me paraît un élément indispensable pour répondre à la question posée : comment enrayer le cycle de la pauvreté ?