Intervention de Serge Vinçon

Réunion du 7 décembre 2006 à 22h00
Loi de finances pour 2007 — État b

Photo de Serge VinçonSerge Vinçon, président de la commission des affaires étrangères :

Monsieur le président, je voudrais m'adresser au président de la commission des finances.

Je retiens bien volontiers la proposition qu'il nous a faite tout à l'heure de participer, avec les rapporteurs pour avis, au contrôle sur place et sur pièces, en compagnie des rapporteurs spéciaux. Nous apprécions cette proposition et nous y répondons favorablement.

Monsieur le ministre, mes chers collègues, au-delà des chiffres dont nous avons discuté ce soir, que la commission des affaires étrangères approuve et sur lesquels nous allons nous prononcer dans un instant, il y a, bien entendu, l'action de la France sur la scène internationale et son rayonnement. C'est l'occasion pour moi de le dire, l'action de notre pays est pertinente, son analyse est lucide et son engagement dans les multiples crises que connaissent aujourd'hui l'ensemble des continents est majeur et apprécié.

Monsieur le ministre, je veux rendre hommage à l'action que vous menez au service de la diplomatie française, au service des valeurs que nous exprimons dans chacune de nos prises de position internationale. Je veux aussi rendre hommage à tous les diplomates et à toutes les personnes qui, à l'image de ce qui s'est passé cet été au Liban, nous ont permis d'être à la première place en termes diplomatique et militaire, mais aussi sur le plan humanitaire et, donc, de l'humanité.

Je vous le dis au nom de la commission des affaires étrangères, où que nous allions dans le monde, nous entendons l'hommage qui est rendu à la voix de la France, voix si pertinente à chaque crise, et Dieu sait si elles sont nombreuses aujourd'hui ! Je vous remercie, monsieur le ministre ; c'est aussi l'occasion de saluer l'action du Gouvernement et celle du Président de la République.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion