Pour respecter ces objectifs, nous avons refusé de céder à la démagogie et fait deux choix importants.
Nous avons, d’abord, fait le choix de la justice : les salariés qui bénéficieront du dispositif « retraite pour pénibilité » seront ceux qui souffrent d’un affaiblissement physique avéré au moment du départ à la retraite.