Nous avons, ensuite, fait le choix d’accorder ce droit de manière individuelle. Nous refusons l’approche qui consisterait à fixer par avance une liste de métiers réputés pénibles. Cette approche collective aurait été injuste, car elle aurait laissé de côté certains salariés qui n’exercent pas ces métiers, mais qui sont cependant usés par leur travail.
Cette mesure bénéficiera, après montée en charge, à 10 000 personnes par an.