Nous nous souvenons des quinze ou vingt dernières années. Je ne crois pas faire acte de provocation en disant que les réformes sur les retraites ne sont pas estampillées par les partis ou les gouvernements de gauche : c’est une réalité !
Vous ne pouvez pas nous reprocher de n’avoir rien fait, alors même que vous nous accusez d’avoir mal fait ! Je connais la qualité des rapports qui ont été rendus mais je ne me souviens pas qu’ils aient été suivis de mesures.
Il est normal d’avoir ce débat aujourd’hui et de répondre à ces questions qui sont dans le vif du sujet. Ce sera avec le plus grand plaisir que nous poursuivrons ce débat, le moment venu, à la rentrée. Ainsi, personne ne pourra dire, au moment du vote de la loi, que nous ne connaissions pas le sujet de longue date et que nous n’avions pas eu l’occasion d’en parler. C’est le principal.
Je vous remercie infiniment de votre participation et de la façon dont le débat s’est déroulé.