Une précision sur l'article 1er : son alinéa 3 dispose que la politique de développement « accorde une attention particulière à la francophonie et à la cohésion de l'espace francophone ». Dans la rédaction de l'Assemblée nationale, elle concourrait « à la politique étrangère de la France, à son rayonnement culturel, diplomatique et économique et participait à la cohésion politique et économique de l'espace francophone ». Cette dernière formulation me semble moins vague. Relever le défi éducatif, en Afrique subsaharienne par exemple, où la démographie est vigoureuse, c'est participer à la cohésion politique et économique de l'espace francophone. À défaut, la francophonie serait mise en péril. Pourrait-on revenir à la formation de l'Assemblée nationale ?