Sur le plan des exportations, il faut tenir compte non seulement de la capacité d'une entreprise à s'inscrire dans le cadre de Globalia, mais aussi des facilités offertes par les services publics. J'ai co-rédigé l'année dernière, au nom de la commission des finances, un rapport d'information intitulé L'agroalimentaire français face au défi de l'export : pour une réforme ambitieuse du dispositif public de soutien. Il apparaît que les services français censés conseiller et orienter les entreprises, par exemple au sein des ambassades, n'étaient pas aussi efficaces qu'ailleurs.