Dans les ETI françaises, qui sont tout de même six fois moins nombreuses que leurs homologues allemandes, s'est développée la possibilité, depuis 1985-1990, de faire participer le personnel au capital de l'entreprise. Cela a constitué un élément fort de fidélisation, avec l'intéressement. C'est un cadre que les salariés ont du mal à retrouver dans les plus petites entreprises ou les très grandes.
Les clusters représentent un élément de rapprochement d'entreprises pour créer une entreprise plus importante sans moyens financiers supplémentaires. Pour une PME, il est très difficile de grandir toute seule.