Pour terminer sur une note optimiste, je constate au quotidien une réelle énergie, au sein des entreprises, de la part des individus, pour développer de nouvelles formes d'activités. En revanche, je suis frappé par la puissance et le conservatisme des systèmes. Par conséquent, il conviendrait de mener un travail sur les gouvernances des entreprises pour permettre un certain lâcher prise. La culture des entreprises est encore fortement marquée par le contrôle a priori, la prescription, la programmation. Nos décideurs politiques et économiques doivent permettre une ouverture. Seulement ainsi, nous verrons émerger de nouvelles formes d'activités.