L’abaissement du nombre de policiers municipaux de cinq à quatre me conduit à m’interroger : pourquoi pas trois ? À mon sens, il faut éviter de jouer ainsi avec les seuils. C’est toujours gênant pour les collectivités territoriales, qui, à un agent près, se trouvent parfois dans des situations totalement différentes.
Aujourd’hui, un seuil existe déjà, il est connu. Ne le modifions pas ! Je ne crois pas qu’il existe une différence substantielle entre cinq et quatre agents. Privilégions la stabilité.
La véritable question est de savoir s’il faut ou non une convention. Dans l’affirmative, ce n’est pas entre quatre et cinq agents que l’affaire se joue !