La communauté de communes du Grand Figeac, que je préside, regroupe 79 communes et plus de 40 000 habitants.
Si certains maires ont exprimé des craintes face à l'essor de l'intercommunalité, ils se sont rendu compte de son intérêt : l'intercommunalité permet en effet de développer des politiques publiques, telles que l'économie et la culture, que les communes ne peuvent plus financer et qui intéressent nos concitoyens.
En outre, compte-tenu de la plus grande mobilité des personnes, certains administrés exigent de la part des communes rurales des services équivalents à ceux des villes, qu'elles ne sont pas en capacité de délivrer.
Je suis favorable à l'intercommunalité car elle assure la survie des communes.