C'est pour cela que nous sommes dans une évolution qui est évidente. Je suis un défenseur du monde rural, dont je suis issu, mais si nous n'avons pas de métropoles puissantes, nous sommes perdus. On ne peut plus aujourd'hui empêcher des grandes villes d'exercer des compétences économiques, sociales, universitaires. De ce point de vue, les conseils généraux vont évidemment perdre des compétences. Cela, quoi qu'il arrive, pose le problème du conseil général. On ne peut se passer d'une structure intermédiaire, comme le disait Alain Lambert, entre la région et l'intercommunalité.